Clémence Maucourant

Clémence commence la musique très jeune au conservatoire de Caen avec le violon-alto. La voix humaine devient rapidement le cœur de ses préoccupations. D’abord autodidacte, elle fait ses premiers pas de chanteuse sur des scènes pop rock parisiennes, en parallèle de ses études de Lettres.

Dix ans plus tard, laissant derrière elle une agrégation de Lettres Modernes et un début de carrière d’enseignante, elle complète sa formation en chant lyrique au Conservatoire de Pantin dans la classe de Cécile Bonnet. Elle obtient son DEM en 2021 avec mention Très Bien à l’unanimité, puis se perfectionne auprès de Sébastien Obrecht et Lionel Sarrazin.

Soprano éclectique passionnée par la scène, elle s’engage aussi bien dans la création contemporaine (« Le magicien aux étoiles« , de François Henry, « Caméléon » avec le compositeur de jazz contemporain Thierry Maillard, « Portraits » avec le septuor lyrique Vagabondes), que dans les musiques anciennes (Ensemble Traverse), la musique de chambre (duo Kalakou), l’opéra bouffe (« La Serva padrona » avec la Compagnie des inachevés) et l’opérette (« Un Voyage sur la lune » avec Les Anonymes TP au Grand Théâtre de Calais).

Convaincue que l’imaginaire a le pouvoir d’enfanter le réel, elle est également créatrice. Ses spectacles mettent à l’honneur la part de rêve et d’enfance de chacun, sous les aspects plus durs de l’existence humaine.

En 2018, elle crée « Vigne(s)« , seule-en-scène de théâtre musical sur le monde des ouvriers viticoles.

L’année suivante, le Festival Contes en Vocance lui commande « Le Jardinier bossu« , inspiré par la poésie de Jacques Prévert.

Avec la Compagnie Les Voy’elles qu’on sonne, elle crée le spectacle musical « L’Enfant de la haute mer« , à partir d’une nouvelle de Jules Supervielle.

Qu’elle soit interprète ou créatrice, elle cherche à partager des histoires qui captivent, pour emmener le public ailleurs et lui permettre de renouer avec une part sensible de lui-même.

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